La chasseuse sud-africaine Merelize van der Merwe s'est fait connaître mondialement par ses activités controversées de chasse aux trophées et ses prises de position radicales sur les réseaux sociaux. Son parcours illustre la division profonde entre les partisans de la chasse et les défenseurs des animaux.
Le parcours de Merelize van der Merwe dans le monde de la chasse
À 32 ans, cette Sud-africaine s'est forgé une réputation particulière dans l'univers de la chasse aux trophées. Son approche directe et ses actions médiatisées ont généré de vives réactions à travers le monde.
Son histoire et ses débuts dans la chasse
Merelize van der Merwe s'est imposée comme une figure marquante de la chasse aux trophées. Elle revendique avoir abattu près de 500 animaux, incluant des espèces emblématiques comme les lions, les éléphants et les léopards. Elle justifie ses actions en les associant à la conservation des espèces et au soutien économique local.
Sa notoriété grandissante sur les réseaux sociaux
Le point culminant de sa médiatisation survient le 24 février 2021, lorsqu'elle publie sur Facebook des photos d'une chasse à la girafe, organisée pour la Saint-Valentin au prix de 1700 euros. La diffusion d'images montrant le cœur de l'animal a déclenché une vague d'indignation, aboutissant à une pétition sur Change.org réclamant la suppression de son compte Facebook.
Les controverses autour de ses publications sur la chasse
Merelize van der Merwe, chasseuse sud-africaine de 32 ans, a déclenché une onde de choc sur les réseaux sociaux après avoir partagé des photos d'une partie de chasse à la girafe. Cette activité, organisée pour la Saint-Valentin et ayant coûté 1700 euros, illustre les pratiques régulières de cette chasseuse qui revendique avoir abattu près de 500 animaux sauvages, incluant des lions, des éléphants et des léopards.
Les réactions du public face à ses photos de chasse
La publication des images sur Facebook, montrant notamment le cœur de la girafe, a provoqué une vive indignation. Une pétition sur Change.org a rapidement vu le jour, rassemblant plus de 5000 signatures demandant la suppression de son compte Facebook. La situation s'est intensifiée au point où la chasseuse a reçu des menaces de mort, tandis qu'une plainte était déposée à La Haye à son encontre.
Les débats éthiques soulevés par ses activités
La chasseuse sud-africaine défend sa position en affirmant que ses activités contribuent à la conservation des espèces et génèrent des emplois locaux. Elle soutient notamment que cette chasse particulière a permis de créer du travail pour 11 personnes. Les défenseurs des animaux contestent cette vision, remettant en cause l'argument de la conservation. Cette divergence de points de vue alimente un débat fondamental sur les pratiques de chasse aux trophées et leur impact réel sur la préservation de la faune.
Son engagement pour la défense de la chasse aux trophées
Merelize van der Merwe, chasseuse sud-africaine de 32 ans, se positionne comme une fervente défenseuse de la chasse aux trophées. Son cas a fait l'objet d'une attention médiatique particulière suite à un épisode de chasse à la girafe lors de la Saint-Valentin 2021, pour un montant de 1700 euros. Cette chasseuse expérimentée revendique avoir abattu près de 500 animaux, dont des espèces emblématiques comme les lions, éléphants et léopards.
Ses arguments en faveur de cette pratique
La chasseuse sud-africaine met en avant une vision économique et sociale de la chasse aux trophées. Elle affirme que cette activité génère des emplois locaux, citant notamment que son activité de chasse a créé du travail pour 11 personnes. Elle soutient également que cette pratique participe à la conservation des espèces, une position qu'elle défend activement sur les réseaux sociaux, notamment Facebook, où elle partage régulièrement ses exploits de chasse.
Son impact sur la communauté des chasseurs
Les actions de Merelize van der Merwe ont provoqué une onde de choc sur les réseaux sociaux, notamment après la publication des photos montrant le cœur de la girafe abattue. Cette exposition médiatique a déclenché une forte mobilisation des défenseurs des animaux, aboutissant à une pétition sur Change.org réclamant la suppression de son compte Facebook. La chasseuse a reçu des menaces de mort et fait l'objet d'une plainte à La Haye. Cette situation illustre la fracture profonde entre les partisans de la chasse aux trophées et les organisations de protection des animaux, qui réfutent l'argument de la conservation des espèces.
L'influence de sa position sur le débat public
La chasseuse sud-africaine Merelize van der Merwe a déclenché une vaste polémique après avoir abattu une girafe lors d'une partie de chasse organisée pour la Saint-Valentin, moyennant 1700 euros. La publication sur Facebook des photos de son trophée et du cœur de l'animal a provoqué une onde de choc sur les réseaux sociaux, transformant un acte personnel en débat sociétal.
Les conséquences sur la perception de la chasse
Cette action a généré une discussion intense sur la pratique de la chasse aux trophées. Merelize van der Merwe, qui revendique l'abattage de près de 500 animaux, dont des lions, éléphants et léopards, défend sa position en argumentant que cette activité crée des emplois locaux. Elle affirme notamment que cette chasse spécifique a fourni du travail à 11 personnes. Cette affirmation s'inscrit dans un débat plus large sur les pratiques de chasse et leur rôle dans l'économie locale.
Les réactions des associations de protection des animaux
La réponse des défenseurs des animaux s'est manifestée par une mobilisation massive sur les réseaux sociaux. Une pétition sur Change.org a été lancée pour réclamer la suppression du compte Facebook de la chasseuse, rassemblant plus de 5000 signatures. Les opposants remettent en question l'argument de la conservation avancé par Merelize van der Merwe. La situation a pris une tournure juridique avec le dépôt d'une plainte à La Haye, tandis que la chasseuse fait face à des menaces de mort.
Les répercussions médiatiques de ses actions controversées
La chasseuse sud-africaine Merelize van der Merwe, âgée de 32 ans, a déclenché une vague d'indignation sur les réseaux sociaux après avoir abattu une girafe lors d'un week-end de chasse pour la Saint-Valentin. Cette sortie, d'un montant de 1700 euros, s'ajoute à un tableau de chasse personnel comptabilisant près de 500 animaux, incluant des lions, des éléphants et des léopards.
La viralité de ses publications sur Facebook
Les images publiées par Merelize van der Merwe sur Facebook ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux. La chasseuse a notamment partagé des photos montrant la dépouille de la girafe ainsi que son cœur. Elle justifie son action en avançant que cette activité a créé des emplois pour 11 personnes. Cette chasse s'inscrit dans une pratique régulière pour cette Sud-africaine, qui revendique avoir chassé près de 500 espèces sauvages.
Les réactions des défenseurs des animaux face à ses trophées
La réaction des associations de protection des animaux ne s'est pas fait attendre. Une pétition a été lancée sur Change.org demandant la suppression du compte Facebook de la chasseuse, rassemblant plus de 5000 signatures. Les militants remettent en question l'argument de la conservation avancé par van der Merwe. La situation a pris une tournure judiciaire avec le dépôt d'une plainte à La Haye. La chasseuse fait désormais face à des menaces de mort suite à la médiatisation de ses actes.